Les gens ont parfois un peu besoin de soutien, c'est normal, non ? (JAVIER)

Les gens ont parfois un peu besoin de soutien, c'est normal, non ?

Javier & Faith

Les gens ont parfois un peu besoin de soutien, c'est normal, non ? ✻✻✻ Aujourd'hui je n'allais pas bien comme depuis bientot sept mois j'etais en mode zombie . Je répondais au prof voulant me faire virer et surtout me prendre le maximum de punitions et surtout me faire haïr par tout le monde sauf difficilement réalisable car même si je voulais être la pire peste , j'avais ce cotez doux qui remontait toujours à la surface . J'étais devant mon miroir à me démêler les cheveux avant de sortir en boite c'etait le seul endroit ou je pouvais me détruire encore plus . je buvais à n'en plus finir et rentrais à pas d'heure souvent avec un homme que je virais doucement le lendemain matin. Je pris de ma garde-robe une robe assez sexy rouge pour bien me faire remarquer . Je la mis doucement et fis un grand sourire c'etait tellement parfait, tellement ce que je voulais .

Je pris un taxi ne prenant jamais ma voiture depuis cet accident que j'avais causé . La voiture me faisais terriblement peur je la prenais la moins possible et encore moins quand je sortais . je lui demandais de me déposer devant cette fameuse boite de nuit . Le videur me connaissait sans doute trop mais jamais il ne m'avait jugé . La boite commençait a doucement se remplir . Je passais une bonne soirée je buvais les verres gratuitement et dansais sans me soucier des apparences et des pensées des gens.

La soirée débutait plutôt bien quand deux jeunes hommes me proposèrent de passer la fin de soirée à leurs table avec d'autres amis à eux .je ne pouvais dire non surtout que cela voulait dire boisson gratuite. Je me mis tranquillement entre eux , je rigolais je jouer un rôle et j'aimais ce rôle .J'en embrassais et caressais doucement le visage de l'autre quand je sentis une main sur mon épaule . Mon regard se posa sur cette main et mes yeux remontèrent doucement vers ce visage que je connaissais très bien "Merde"

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« Putain de merde ! » jure-t-il entre ses dents tandis qu'un gamin vient de verser sa vodka sur son pantalon. Voilà encore une raison pour laquelle il déteste aller en boite de nuit. Premièrement il n'y a que des gamins. Deuxièmement, ils sont tellement bourrés la plupart du temps qu'ils ne voient même pas ce qu'ils font, preuve en est de l'alcool maculant le pantalon de Javier. Troisièmement, ils dansent tellement serré les uns contre les autres qu'on ne sait pas vraiment s'ils dansent ou s'ils sont en train de baiser sur la piste de danse. Et pour finir, l'odeur de transpiration est telle qu'il n'a qu'une envie quitter cet endroit aussi vite que possible. Mais il ne peut pas, pas sans elle. Il est entré dans la boite à cause d'elle, Faith. C'est une de ses étudiantes qui depuis son accident a décidé de foutre sa vie en l'air et ça, Javier ne peut pas l'accepter. Pourquoi ? Simplement parce qu'elle a la vie devant elle et qu'il est hors de question qu'il voit une de ses élèves détruire son avenir et sa santé. Il l'a vu descendre d'un taxi alors qu'il passait dans le coin cherchant à rejoindre un bar un peu plus loin et quand il a vu son accoutrement, il a décidé de la suivre dans la boite. Et maintenant, il pu la vodka et il n'arrive pas à la retrouver dans la salle. Il cherche pendant cinq minutes, tournant sur lui même et éveillant les soupçons des gens les moins bourrés et notamment des videurs. Ils sont sûrement en train de se demander ce qu'un type comme lui fait ici. C'est alors qu'il la voit alors que la foule se sépare en deux. Javier profite de cet espace pour passer à tout allure vers la jeune femme et dépose une main sur son épaule alors qu'elle embrasse un mec goulûment. Il se rappelle qu'à son âge, il était pareil, seulement lui ne cherchait pas à se détruire... Quoique après l'assassinat de Ana-Luisa, il avait été dans le même état d'esprit que la jeune femme. Seulement, lui n'avait personne pour le remettre dans le droit chemin, alors que Faith l'a lui et sûrement beaucoup d'autres personnes. Elle se retourne alors vers lui et s'il n'entend pas le merde, il peut très bien le lire sur ses lèvres. Il fronce les sourcils et un sourire mauvais apparaît sur ses lèvres. Il se penche alors vers les deux mecs qu'elle a décidé d'allumer et prend la parole. « Si vous voulez pas que je vous coupe les couilles et les donne à bouffer à mes cochons, je vous suggère de dégager et de ne plus jamais la toucher. » Il devine à leur expression qui leur a fait peur et il agrandit son sourire ce qui a pour effet de les faire fuir plus rapidement. Il ne sait pas ce qui lui ait passé par la tête pour parler de ça, mais il est plutôt fier de ce qu'il vient de dire. La prochaine fois, il dira qu'il est son père, ça leur fera sûrement encore plus peur. Il empoigne alors Faith et l'emmène avec lui dehors, doucement pour ne pas lui faire mal mais assez fermement pour qu'elle ne s'échappe pas. « Tu vas m'expliquer ce que tu fais ici ? » Oui s'il vouvoie ses élèves dans l'enceinte de l'université, dans ce genre de situation, il en oublie les bonnes manières et passe au tutoiement dès le début.